
Te dire qu’avec un argentique jamais tu n’aurais pris cette photo. Une plante devant une fenêtre, photo divisée par une ligne verticale, un tiers deux tiers, certaines feuilles sont dans l’ombre d’autres dans la lumière de cette journée sombre de février, les feuilles de forme ellipsoïdale sont tombantes, certaines se terminent par une pointe très allongée, de fines tiges les relient entre elles à la tige principale, dans le tiers de gauche on aperçoit trois feuilles surmontées d’une guirlande de lumières, toutes les autres, une quinzaine, se situent dans le tiers de droite, elles masquent l’extérieur comme un rideau, lui même tenu à distance par un rideau de pluie, tout est gris, blanc, ouaté, sans relief, c’est un jour de tempête, un jour d’intériorité.
tempête intérieure. Ne pas être trop dur avec soi. Chercher ce qu’il faut travailler. Ton texte m’évoque tout cela. Bon début pour un blog.
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Merci Danièle. Que veux-tu dire par « chercher ce qu’il faut travailler » ?
En effet, j’ai voulu évoqué la tempête intérieure en parallèle à celle qui soufflait à l’extérieur.
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Savoir ce qu’il faut travailler ? Je crois que je voulais dire comme en photo, savoir s’il faut améliorer la lumière, la netteté, ou encore le cadrage. Je ne sais plus.
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Ah ok, merci. J’ai voulu faire une description de photo dans le style d’une des propositions de François dans l’atelier « Progression ». Le flou à l’extérieur était voulu.
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