Il y a des villes où le passé est partout présent. Où les strates s’interpénètrent, se font écho. La plus tangible à Bath, la strate actuelle, est le 18e siècle, celle du Moyen-Âge est à trois mètres de profondeur et la strate romaine à six mètres. Le passé attire les foules. Je n’ose imaginer l’été à Bath.
Bath n’est pas ma vision de la ville, j’ai choisi Bath parce qu’elle est une ville qui correspond à ma vision romantique de l’Angleterre, j’aime flâner dans ces rues aux alentours du Circus et du Royal Crescent ou sur le Pulteney Bridge et imaginer Jane Austen ou ses personnages faire de même.
C’est un billet très bref cette semaine, surtout un journal images
Mais une pensée aussi pour Lovecraft, lui qui affectionnait tant le 18e siècle.









